La proposition de loi Falorni examinée à partir du 12 mai veut permettre à des personnes présentant une « souffrance psychologique » de programmer leur mort.
C’est une capitulation, pas une compassion.
"Nous, psychologues, psychiatres refusons ce glissement fatal.
Notre mission est de prévenir le suicide, pas de l’organiser."
Nous lançons aujourd’hui un appel public pour défendre la dignité du soin et la protection des plus vulnérables.