Ce n’est pas arrivé,
Pas encore passé.
Les situations défilent,
Les angoisses s’empilent
Sur un décor morbide
De visages frigides,
De regards sombres.
S’enchaînent les ombres
Et les mots bafoués ;
Le « moi » répété,
Les « autres » écrasés.
Le temps d’une bouffe,
Au coin les pantoufles ;
Place au froufrou,
On oublie tout,
On retient tout,
Bande de fous.
On ne va plus s’effriter,
Mais se poiler
Sans se bouffer,
Le temps d’un repas
De goujat.
Une fois bien retournée,
Les idées chiffonnées,
Soyons présentables
Autour de la table,
Place aux bonnes manières.
Il manquerait plus qu’un air
De désaccordons
Et ça serait le pompon.
Pas encore passé.
Les situations défilent,
Les angoisses s’empilent
Sur un décor morbide
De visages frigides,
De regards sombres.
S’enchaînent les ombres
Et les mots bafoués ;
Le « moi » répété,
Les « autres » écrasés.
Le temps d’une bouffe,
Au coin les pantoufles ;
Place au froufrou,
On oublie tout,
On retient tout,
Bande de fous.
On ne va plus s’effriter,
Mais se poiler
Sans se bouffer,
Le temps d’un repas
De goujat.
Une fois bien retournée,
Les idées chiffonnées,
Soyons présentables
Autour de la table,
Place aux bonnes manières.
Il manquerait plus qu’un air
De désaccordons
Et ça serait le pompon.