Extra-terrestre non identifiée venant d'une autre galaxie, cherche un coin tranquille sur la planète Terre pour se poser, rêver et flâner en toute liberté. En créant cet espace, je pense à laisser une trace avant le départ sans date. Peut-être demain, peut-être dans quelques années... Un lieu d'échange, un confident où je ne sais quand je lui rendrai visite, ni même pourquoi ? #TSA #Autisme #TDAH #TDC #Handicap #Mutisme #Solitude #Vie #Blog #Journaldebord
mardi 18 septembre 2007
samedi 15 septembre 2007
Existe Toi.
Lieu glacial, sans repère,
Existence confondue.
L'attente fige ce temps,
Devant cette mèche allumée.
Ses éclats traversent l'intérieur,
Froissé de toutes ses frayeurs,
Venant de cet extérieur
Et de nulle part ailleurs.
Vie dénuée de sens,
Plus rien à d'importance.
Savoir...
Se relever encore
Et de nouveau tomber.
Parcours insensé,
Ni raison, ni tord ;
Le tapage s'estompe,
Va et vient infernal.
Jeté dans cette jungle,
Abattu de trouille.
Dehors, dedans,
Se brouillent.
Vie dérisoire,
Pourtant essentielle.
Plonger de nouveau
Dans ce monde artificiel,
Echappatoire, silence,
Légèreté continue,
Brèche d'illusion.
Qu'importe, je vis.
vendredi 14 septembre 2007
Persécution.
Perdu, sans savoir où tu vas.
Figé, paralysé par la peur.
Coincé dans cette embuscade,
L'intérieur tiraille.
Rester face à ce mur,
Mirage d'un chemin continu.
Le corps lourd,
Impossible de bouger.
Tu ne sais quoi penser,
Hypnotisé par ses peurs.
La situation t'échappe.
L'intérieur tiraille.
Tu plonges,
Tu ne sais plus bouger.
Ce n'est qu'illusion,
Stop.
La peur, la douleur, l'angoisse,
Tu es envahi.
Foudroyer tous ces intrus,
Contrôler cette douleur,
Ne plus penser à celles infligées.
Brutalité en tous sens,
Le monde n'existe plus.
Figé, paralysé par la peur.
Coincé dans cette embuscade,
L'intérieur tiraille.
Rester face à ce mur,
Mirage d'un chemin continu.
Le corps lourd,
Impossible de bouger.
Tu ne sais quoi penser,
Hypnotisé par ses peurs.
La situation t'échappe.
L'intérieur tiraille.
Tu plonges,
Tu ne sais plus bouger.
Ce n'est qu'illusion,
Stop.
La peur, la douleur, l'angoisse,
Tu es envahi.
Foudroyer tous ces intrus,
Contrôler cette douleur,
Ne plus penser à celles infligées.
Brutalité en tous sens,
Le monde n'existe plus.
mardi 11 septembre 2007
Avancer.
Répéter sans cesse ces notes,
Elles enivrent ma tête,
Figent ce temps vide de sens.
Histoire, pensées, gestes, mots...
Recommencer encore.
Un pas suivant l'autre,
Les pensées s'enchaînent,
Je vais,
Je ne sais où.
Une empreinte sur cette terre,
En suivra d'autre derrière.
Avancer toujours.
L'allure traîne,
Chemin rocailleux,
Le sac lourd,
La pente glissante,
Les mains tremblent,
La fatigue gagne.
Mélodie qui se répète,
Ces notes possèdent ma tête.
Respirer, s'accrocher,
Fermer les yeux,
Tenir encore.
Avancer,
La tête baissée,
Atteindre cette finalité.
Jusqu'au bout souffler,
Sans but, ni arrivée.
Avancer...
Suivre cet instinct,
Peu importe la fin.
vendredi 7 septembre 2007
Entre Deux Nuages.
Il n'y a pas de lune avant mardi, pas de changement de saisons ses jours-ci, mais un temps qui change sans arrêt. Un jour lourd, l'autre glacial. Soit... Le temps est zarbi, tout comme mon intérieur.
Je ne sais pas ce qui se trame dans tout ce bordel, mais je ne pige plus rien. Je ne supporte plus rien, je suis irritable et pourtant je me sens sereine à l'intérieur. C'est zarbi, je frôle la folie ? Je m'estime un temps soit peu déconnectée, ailleurs, mais là je ne suis plus, je sais plus si je suis bien ou pas, car c'est sans arrêt en changement et en même temps stagne.
Si tu me suis pas t'affole pas, car j'expose tout en pensant et je ne comprends en rien ce que je pense, ni ce qui se passe. J'ai la tête en bouillie, je suis dépassée, angoissée par je ne sais quoi. Je porte un gros poids et en même temps je me sens plus légère.
Qu'est-ce que c'est que ce micmac ? Je pige que dalle.
Je ne sais pas ce qui se trame dans tout ce bordel, mais je ne pige plus rien. Je ne supporte plus rien, je suis irritable et pourtant je me sens sereine à l'intérieur. C'est zarbi, je frôle la folie ? Je m'estime un temps soit peu déconnectée, ailleurs, mais là je ne suis plus, je sais plus si je suis bien ou pas, car c'est sans arrêt en changement et en même temps stagne.
Si tu me suis pas t'affole pas, car j'expose tout en pensant et je ne comprends en rien ce que je pense, ni ce qui se passe. J'ai la tête en bouillie, je suis dépassée, angoissée par je ne sais quoi. Je porte un gros poids et en même temps je me sens plus légère.
Qu'est-ce que c'est que ce micmac ? Je pige que dalle.
Je suis tout à la fois pour résumer, je n'arrive pas à capter comment je suis, je suis complètement perdue dans cet état.
J'ai l'impression d'être à côté de mes pompes, j'ai pas fumé la moquette et bu que de l'eau. Je suis consciente et en même temps à mille lieux d'ici. Mal et à la fois mieux. La folie me gagne ? Si c'est toi Folie, fait ton boulot vite fait, car là je suis encore consciente de mon état. Faut que ce délire arrête, je ne pige plus rien de ce qui se passe, il se passe peut-être rien ? Je ne vais pas commencer à me contredire.
Je suis tout à la fois, mal et mieux, mais aussi super angoissée, je n'arrive pas à cerner cet état, ces changements. Je fais rien, j'aimerais suivre, je suis toujours à la bourre, décalée.
Je ne sais pas comment je suis, c'est angoissant d'être tout à la fois et de ne rien savoir. Je déteste ses changements, ils me bouleversent et me stressent.
J'ai l'impression d'être à côté de mes pompes, j'ai pas fumé la moquette et bu que de l'eau. Je suis consciente et en même temps à mille lieux d'ici. Mal et à la fois mieux. La folie me gagne ? Si c'est toi Folie, fait ton boulot vite fait, car là je suis encore consciente de mon état. Faut que ce délire arrête, je ne pige plus rien de ce qui se passe, il se passe peut-être rien ? Je ne vais pas commencer à me contredire.
Je suis tout à la fois, mal et mieux, mais aussi super angoissée, je n'arrive pas à cerner cet état, ces changements. Je fais rien, j'aimerais suivre, je suis toujours à la bourre, décalée.
Je ne sais pas comment je suis, c'est angoissant d'être tout à la fois et de ne rien savoir. Je déteste ses changements, ils me bouleversent et me stressent.
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