dimanche 29 mai 2011

Des Pas.

Autour d'un lieu, il y a... Une balade.
La nature se découvre, comme une page qui se tourne et l'esprit vole et s'envole...
Un petit détail arrête le temps, existe-t-il vraiment ?
Là, que sommes-nous autour de toute cette grandeur et qui sommes-nous ici ?
Je me souviens de toi et tu es là, partout, en ces lieux, ses souvenirs m'envahissent à chaque détour de chemin.



mardi 17 mai 2011

Le jour où je me suis aimé pour de vrai by Charlie Chaplin.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai... pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle… la Plénitude.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c’est… le Savoir vivre.
Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter. Du chaos naissent les étoiles.

Charlie Chaplin.



lundi 31 mai 2010

Pourquoi est-elle si méchante ? Parce que… (Partie 13).

- Bonjour.
- Salut.
- Je ne dis jamais salut ..!
- Dommage.
- J'ai trop la douceur des mots... Salut est un peu agressif.
- C'est ton avis, il est respectable. J’aime dire salut.
- J'aime aussi dire bisou par exemple.
- Cool.
- J'aime correspondre avec des personnes solitaires..
- Tu gères les distances ?
- Pardon ?
- T'es un personnage artistique qui aime qu'on s'occupe de sa personne.
- J'aime surtout l’échange... Donner et recevoir ; et toi ?
- Je prends ce qui vient.
- Je préfère choisir…
- Choisir quoi ?
- Trier et choisir mes contacts !
- Ha d'accord, comme les déchets, tu tries avant de jeter.
- Je ne fais pas les poubelles.
- Mais tu jettes les gens quand ils ne te conviennent pas ou plus, élémentairement humain.
- Je n'apprécie pas ce genre de verbiage...



dimanche 6 septembre 2009

Pourquoi est-elle si méchante ? Parce que... (Partie 12)

- Je peux savoir qui tu es ?
- Comment ça ?
- Plus de 800 amis partout.
- Je suis connue mais pas reconnue.
- Après quelques amis en commun, je me suis demandé qui tu étais
- Quelle chance…
- Conclusion ?

- Je ne comprends pas qui tu es vraiment.
- Mince alors, je croyais pourtant…
- Qu’est-ce que tu fous dans les groupes à putes, l’intello ?
- Je ne veux mourir bête, je m’intéresse à tout.
- Tu cherches quoi ?
- Ce n’est pas parce que je rentre dans un bar couche partout que je veux aussi baiser !
- Quel intérêt ?
- La connaissance.
- Je veux bien t’initier.
- Non merci.
- Arrête de me prendre pour un âne !
- J’aime trop les ânes pour…
- Si tu veux apprendre, je suis dispo, je connais plein de chose.
- Si je veux baiser, je me passerais bien de toi, mais je t’appelle au cas où…
- Toi, alors !! des fois ...tes réponses m'amusent : courtes, nettes et concises ....et moi : bla,bla ... c'est marrant !!
- C’est quif quif.
- Décidemment, je ne comprends rien à toi !!!
- Ma poule, je m’éclate.
- Je veux te rencontrer, pour ainsi éclaircir la situation.
- Il faut que je te dise, quand tu écris « ti » ou « te » à la place je vois un sein qui se fait lécher, se sont des raccourcis que t’as oublié d’effacer ou que tu as téléchargé (ou virus) et puis plein d’autres animations remplaçant certaines syllabes, assez osées comme un cuni qui surgit à la place du « le ».
- Tu les vois ??? Je ne sais pas comment les effacer !!!!
- Des parasites de packs qui se collent partout…
- Je dois quitter, une urgence, salut !



lundi 27 avril 2009

Folie Douce.

Je ne sais pas si un jour, je vivrai, mais je souhaite rêver tout le temps et voler encore longtemps. Je ne veux sortir de ce sommeil, la vie après tout est un rêve, le réveil est toujours brutal, tourné vers l’inconnu. Je veux vivre mes rêves jusqu’au bout, les nuits sont trop courtes. La nuit sommeillent tous les gens et je reste échappée à la masse, je me saoule avec tranquillité de ce silence que moi seule écoute et vis. Je peux vivre mon évasion comme je l’entends et comme je veux, personne n’est là. Je me mets à écouter les chuchotements de la tête, le silence hors corps texte fredonne des sentiments endormis depuis trop de décennie. Je voudrais mourir ainsi, seule avec moi-même avec cette mélodie et là je peux voir tout le monde sans crainte, sentir la présence, là je peux m’aliéner de ma personne sans tout le monde, la fermée des pas comme les autres, celle qu’on oublie quand ça arrange, celle clamée par utilité. J’aime bien cette évasion, je peux tout lâcher sans raison, sans justifier. Je peux être entière et folle à la fois, pleurer tout en riant, faire silence tout en criant, je peux sortir de moi-même toutes les tensions retenues de peur de croiser les remontrances, les jugements des petitesses d’esprit, des cerveaux bien rangés. Le vilain petit canard peut brouter de son herbe tout en gerbant sans éclabousser le voisin resté à l’étage dans la cage à lapin.

Sinon ça va, j’aime bien ma folie et sans elle je sais plus rien, ni qui je suis, ni d’où je viens, ni pourquoi je suis ici, ni ce que je dis.

Folie, prends-moi tout le temps.