Avec un autre regard, reste toujours cette légèreté, ce voyage sans frontière où quoi que ce soit n'atteint cette partie, que seul celui qui veut, touche ces sensations à l’intérieur.
Elles peuvent être brutes, t’écarteler, sans bouger tu restes paralyser, les pensées se figent n’importe où, le regard fait mal, impossible de réagir.
Le temps passe, la fatigue a pris le dessus sur cette colère mélangée de tristesse. Abattue de ses sensations étranges qui viennent bousculer l’intérieur. Tout paraît inconnu, tout peut basculer d’un instant à l’autre vers cet inconnu. Chut…
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